Si les choses avaient été telles que je les avais imaginées à l’été 2012, je serai aujourd’hui à la veille d’une longue route. Sûrement fébrile, tendu et anxieux. A vérifier chaque détail, que tout soit bien en place. On ne s’élance pas pour 8000 kilomètres sans quelque appréhension, j’imagine.
Pourtant ce 31 décembre, point de départ à l’horizon. Les choses n’ont pas été telles qu’imaginées. Veto médical, santé défaillante et visas impossibles. La longue route pourrait maintenant débuter le 1er janvier 2017.
Point de tristesse cependant. Je sais déjà que les 36 mois à venir couleront aussi vite que les 18 écoulés car la besace des projets reste particulièrement bien garnie. Sur la route, au fil des bornes, mais aussi de l’eau.
Avancer le long d’une telle route au Turkménistan, quel plaisir !
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